Le concept et le fonctionnement du private équity

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Le private equity est une solution parfaite pour entrer dans le capital des PME non cotées en Bourse en manque de financement. L’objectif pour les investisseurs est de réaliser une plus-value et de promouvoir par la même occasion la relance économique. Découvrez dans cet article la définition du terme « private equity » et les informations essentielles sur ce type de placement spécifique.

Qu’est-ce que le private equity ?

Qu'est-ce que le private equity ?

Signifiant « capitaux propres privés » ou « capital investissement » en français, le private equity est, par définition, un placement permettant de réaliser des plus-values. L’opération consiste à participer dans le capital des PME en manque de financement. Pour ce faire, il suffit de définir la solution d’investissement adaptée, à l’instar d’Opale, plateforme de private equity favorisant la simplicité et la transparence. Il vous sera ainsi plus facile de dénicher les actions non cotées les plus attrayantes, offrant un rendement élevé avec un risque plus faible.

Concrètement, le private equity constitue une classe d’actifs particulièrement attractive en termes de performances et de rentabilité. Se lancer dans ce type d’investissement, c’est offrir un soutien financier à une entreprise tout au long de son cycle de vie. D’une manière générale, l’investissement en private equity porte ses fruits au bout de 5 à 8 ans. Ce placement est considéré comme un levier d’amélioration pour la société. En effet, les équipes dirigeantes et les investisseurs en capital sont en mesure de combiner leurs expertises, compétences et savoir-faire.

Le private equity se décline en quatre principaux types, à savoir :

  1. Le capital-risque, qui sert à financer la création des sociétés non cotées ;
  2. Le capital-développement, qui correspond au financement d’une entreprise ayant pour objectif d’augmenter sa force de vente et ses capacités de production ;
  3. Le capital-retournement, qui consiste en l’investissement dans une société rencontrant des problèmes financiers ;
  4. Le capital-transmission, destiné à faciliter la transmission de la société vers une autre entreprise ou une personne physique.

Les atouts du private equity

Le premier avantage de l’investissement en private equity réside dans le type de placement. En effet, l’opération consiste à faire un investissement dans un sous-jacent facile à analyser. Il est ainsi possible de déterminer les principaux facteurs de réussite et de risque de manière objective. Pour ce faire, il suffit de se baser sur le marché ou ta nature du projet d’entreprise. L’analyse se base donc sur les éléments essentiels : le risque et la rentabilité.

D’un autre côté, investir dans un FCPR, c’est s’assurer d’obtenir de meilleurs résultats par rapport à ceux de l’immobilier et de la Bourse. En effet, un actif de capital investissement offre un surcroît de rendement, avec notamment :

  1. Un prix d’achat moins spéculatif par rapport au coût des actifs cotés en Bourse ;
  2. La possibilité pour les équipes de gestionnaires d’actifs de participer sur la stratégie des entreprises financées afin d’en optimiser la performance.

En général, les gestionnaires des sociétés de private equity ciblent les entreprises à fort potentiel avec des besoins en financement. Leur rôle principal est de calculer les taux de rentabilité afin de permettre aux investisseurs de profiter de retours sur investissements attrayants.

Qui peut investir dans le private equity ?

Qui peut investir dans le private equity ?

Nombreux sont ceux qui pensent que l’investissement en private equity est réservé uniquement aux sociétés d’investissement, ce qui est faux. À l’origine, il s’adressait principalement aux business angels, notamment les particuliers fortunés et la clientèle institutionnelle. De nos jours, il s’est démocratisé et devient plus accessible. Les investisseurs, tous profils confondus, peuvent prendre des participations, minoritaires ou majoritaires, dans le capital des entreprises non cotées en Bourse. Deux options s’offrent à ceux qui désirent investir dans un FCPR :

  1. Entrer au capital des entreprises en devenant directement actionnaire. Pour ce faire, il suffit d’approcher les sociétés à fort potentiel ayant un besoin de trésorerie et d’acquérir des actions. Ce type d’investissement s’adresse principalement aux particuliers, qui passent généralement par des plateformes de crowdfunding, aux holdings de participation et aux family officer.
  2. Recourir aux services des agences spécialisées qui prennent en charge la gestion des portefeuilles d’actions non cotées en Bourse. Cette méthode d’investissement via des fonds ou des sociétés reste la plus courante. Elle s’adresse à tout investisseur qui prévoit de procéder à la diversification de ses portefeuilles d’actions.

Quoi qu’il en soit, comme le risque et le rendement sont intimement liés dans cette catégorie de placement financier, il est nécessaire d’étudier de manière approfondie :

  1. Les sociétés porteuses de projets ;
  2. L’historique et la réputation des entreprises de gestion ;
  3. La durée d’engagement ;

Les conditions de sortie établies dans la convention entre actionnaires.

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